LIVE! deluxe 2cd set
Re: LIVE! deluxe 2cd set
avec un point d'interrogation peut être pour la version deluxe...
Une raison qui t'échappe ? Non rien de spécial. Si ce n'est que le "premier wagon" de versions Deluxe est sorti dans un laps de temps assez court, et ce, avant la crie majeure que subit le disque actuellement. Depuis, à quelles sorties avons-nous eu droit ? Une collection de singles, Africa Unite (tu parles, même pas les versions singles, et encore moins les faces B), et un album dub, uniquement disponible en version numérique, et mixé en partie récemment, le tout sans aucune cohérence chronologique...Mali a écrit :ouais p'têtre... mais je suis pas à me demander chaque matin si ce Live sortira... s'il sort tant mieux, sinon tant pis. Je ne suis pas non plus acharné. Après, pourquoi ne sortirait il pas ? on a déjà eu d'autres albums en version deluxe... pourquoi celui ci serait l'exception ? y'a peut etre une raison qui m'échappe
Don't you ever introduce me to your chicks, because I'm feeling hot and I'm feeling very sick (Tony Tuff)
Te vexe pas, Mali, c'est pas le but. Je dois trop passer de temps sur le forum Natty Dread, leur ton me contamineMali a écrit :Désolé d'être neuneu.slengteng a écrit :Une raison qui t'échappe ? Non rien de spécial.

Don't you ever introduce me to your chicks, because I'm feeling hot and I'm feeling very sick (Tony Tuff)
sauf que on a le deluxe de Junior Murvin sorti il y a 1 an exactement... et honnetement, je pense que Bob touche plus de gens que Junior Murvin (qu'ils s'en foutent plus les fouilles avec Bob que Junior). Je ne suis pas sur qu'ils aient perdu du fric avec leurs albums deluxe.
Oui mais ça c'est du 100% Island, ça ne concerne pas Rita Marley. C'est elle qui est à l'origine de tout ce qui porte le nom de Bob dans le commerce (hormis, bien sûr, les nombreux, pirates).Mali a écrit :sauf que on a le deluxe de Junior Murvin sorti il y a 1 an exactement... et honnetement, je pense que Bob touche plus de gens que Junior Murvin (qu'ils s'en foutent plus les fouilles avec Bob que Junior). Je ne suis pas sur qu'ils aient perdu du fric avec leurs albums deluxe.
Don't you ever introduce me to your chicks, because I'm feeling hot and I'm feeling very sick (Tony Tuff)
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Je sais pas si vous avez lu cette nouvelle:
"C'était une décision de justice à plusieurs millions de dollars. La famille Marley était engagée dans un procès contre Universal Music Group pour récupérer les copyrights de cinq albums enregistrés entre 1973-1977, alors que Bob Marley était signé par Island, label aujourd'hui propriété d'UMG. Elle l'a perdu.
L'enjeu était de taille. Jugez plutôt : une bataille judiciaire autour des copyrights des albums "Catch a Fire", "Burnin", "Natty Dread", "Rastaman Vibrations" et "Exodus". Autrement dit, pas les plus mauvais, ni les moins vendus.
La juge américaine Denise Cote (US District Court, Manhattan) a reconnu Universal comme étant le propriétaire légal et de plein-droit des cinq albums enregistrés par le Tuff Gong entre 1973 et 1977 pour Island, alors dirigé par Chris Blackwell, raconte l'agence de presse Reuters
La famille Marley et ses avocats accusaient UMG de ne pas avoir versé de royalties à leur structure, Fifty-Six Hope Road Music Ltd, et d'avoir brisé un accord conclu en 1995 qui leur donnait des droits sur ces albums. Ils reprochaient enfin à UMG de ne pas les avoir consultés sur l'utilisation des licences, notamment les partenariats noués avec les opérateurs de téléphonie américains pour développer des sonneries avec la musique de Bob. Rita Marley et ses neuf enfants espéraient ainsi récupérer plusieurs millions de dollars en dommages.
Las ! Denise Cote a considéré que les enregistrements de Bob Marley était des "œuvres de commandes" ("works made for hire") selon le droit d'auteur américain, et qu'UMG en était ainsi le propriétaire légal.
"Chacun des accords stipulent que les enregistrements était "propriété absolue" ("absolute property") d'Island", a ajouté Cote. "Que Marley aurait pu enregistrer cette musique même sans conclure ces accords avec Island n'est pas la question".
Que Marley ait pu avoir un contrôle artistique sur le processus d'enregistrement n'était pas non plus recevable. "Ce qui importe, dit-elle encore, c'est que Island avait un droit contractuel d'accepter ou de rejeter ce qu'il produisait".
Enfin Cote a rejeté la demande de la famille Marley d'un jugement de ses plaintes concernant les téléchargements numériques. Cette fois, c'est l'ambiguïté d'un accord sur les royalties signé en 1992 que la juge a mis en avant.
Elle a ordonné aux deux parties d'entamer des négociations sous la supervision de la justice. Une conférence est prévue le 29 octobre."
"C'était une décision de justice à plusieurs millions de dollars. La famille Marley était engagée dans un procès contre Universal Music Group pour récupérer les copyrights de cinq albums enregistrés entre 1973-1977, alors que Bob Marley était signé par Island, label aujourd'hui propriété d'UMG. Elle l'a perdu.
L'enjeu était de taille. Jugez plutôt : une bataille judiciaire autour des copyrights des albums "Catch a Fire", "Burnin", "Natty Dread", "Rastaman Vibrations" et "Exodus". Autrement dit, pas les plus mauvais, ni les moins vendus.
La juge américaine Denise Cote (US District Court, Manhattan) a reconnu Universal comme étant le propriétaire légal et de plein-droit des cinq albums enregistrés par le Tuff Gong entre 1973 et 1977 pour Island, alors dirigé par Chris Blackwell, raconte l'agence de presse Reuters
La famille Marley et ses avocats accusaient UMG de ne pas avoir versé de royalties à leur structure, Fifty-Six Hope Road Music Ltd, et d'avoir brisé un accord conclu en 1995 qui leur donnait des droits sur ces albums. Ils reprochaient enfin à UMG de ne pas les avoir consultés sur l'utilisation des licences, notamment les partenariats noués avec les opérateurs de téléphonie américains pour développer des sonneries avec la musique de Bob. Rita Marley et ses neuf enfants espéraient ainsi récupérer plusieurs millions de dollars en dommages.
Las ! Denise Cote a considéré que les enregistrements de Bob Marley était des "œuvres de commandes" ("works made for hire") selon le droit d'auteur américain, et qu'UMG en était ainsi le propriétaire légal.
"Chacun des accords stipulent que les enregistrements était "propriété absolue" ("absolute property") d'Island", a ajouté Cote. "Que Marley aurait pu enregistrer cette musique même sans conclure ces accords avec Island n'est pas la question".
Que Marley ait pu avoir un contrôle artistique sur le processus d'enregistrement n'était pas non plus recevable. "Ce qui importe, dit-elle encore, c'est que Island avait un droit contractuel d'accepter ou de rejeter ce qu'il produisait".
Enfin Cote a rejeté la demande de la famille Marley d'un jugement de ses plaintes concernant les téléchargements numériques. Cette fois, c'est l'ambiguïté d'un accord sur les royalties signé en 1992 que la juge a mis en avant.
Elle a ordonné aux deux parties d'entamer des négociations sous la supervision de la justice. Une conférence est prévue le 29 octobre."
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