[7"] Raymond Harper & The Melody Makers (Doctor Bird - PS)

[JeremiYah RFD]

C'est facile

Je reformule pour la Suisse : je trouve des tas de défauts à ces sorties, mais si y'a une qualité qu'on peut pas leur retirer, c'est qu'elles donnent un nouvel accès à des choses dont les prix sont prohibitifs. Et j'ai du mal à être contre le fait de cour-circuiter les bourgeois (bon là encore j'exagère mais vous avez compris l'idée )

Et puis, quand je disais "et en plus il est ravi", j'entendais que la joie d'écouter un disque (mémé reproduit) qu'on pensait ne jamais avoir compense (voire efface) toutes les choses négatives qu'on pourrait légitimement penser sur le dit-disque. Limite, cette joie "empêche" de "penser" les choses négatives. Je vois pas où t'as vu un ton hautain, jude, je m'exclue pas de ça. Exemple : je dis du mal des reproductions depuis mtn 5-6 ans sur ce forum, et pourtant, j'allais acheter le safari

[Loopi]

si je peux me permettre, acheter un repress, ou un disque tout court, ce n'est pas autain, c'est juste archaïque en ces temps d'ultra connection,...connecté jusqu'au slip !
Le "retour" au vinyl ? un effet de mode, dont bénéficie les vrais amateurs de musique, il suffit juste de trier le bon grain de l'ivraie.
Et je ne sais pas ce qui fait le plus mal au cul, même si j'ai mon idée, entre acheter un repress (de qualité) à 10 balles ou un 7' original à 800 ?
Enfin, dernier point, dans toute entreprise, le but au final, c'est au minimum, d'équilibrer les comptes, au mieux de faire un peu de bénef', afin de pouvoir réinvestir et continuer, mais surtout pas d'être déficitaire...parceque la tout s'arrête.

[Jahson]

Reçus today ! Le SkaTaBrain dévaste !

[Loopi]

. Les 'limited press' ou autres 'only 500' annoncés font que certains 'pigeons' se ruent dessus,.

je pense qu'il ne faut pas se méprendre, les limited press à 500 ou 300 exemplaires présentés d'un point de vue marketing comme une exclusivité "immanquable" correspondent en fait aux quantités minimales que les entreprises qui pressent les disques puissent accepter. La réalité serait plutôt que c'est les quantités que les revendeurs arrivent à commercialiser, péniblement généralement...
Il y a quelques exceptions, ce sont ces quelques repress qui prennent de la valeur. Parler de pigeon concernant les amateurs ravis de pouvoir acquérir un disque rare réédité de manière officiel et correct me parait bien exagéré, voir malvenus en ces temps difficile pour le marché du disque.