pour la connotation, encore pire que maintenant !!!litelet a écrit :Moi je suis d'ac que le reggae est petit en terme d'auditeurs par chez nous... Si on retire les ados en quête d'identité et de rebellion temporaire et qu'on regarde ceux qui continuent à en écouter après 20 ans... ça fait peu de gens, même si effectivement c'est assez réparti dans le monde. Par contre comme vous dites, du point de vue symbolique c'est autre chose... Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ici.... Ca a une grande portée, comme message respectant les noirs et les opprimés en général. Mais ca reste chez nous une musique que les gens associent à un mouvement de ringards paumés qui n'y recherchent que la ganja et ça je sais pas vraiment pourquoi ça ne sort pas de ce carcan. Peu de mes collègues prennent vraiment ça au sérieux. Le Hip Hop lui a fini par trouver, au travers de certains artistes, une vraie considération, il me semble.
Le reggae pas. Marley avait un sacré succès pendant les 70's, pourtant, mon papa a même les albums Island acheté à leur sortie, sur lesquels je dansais bébé. Mais j'imagine qu'à cette époque déjà, les auditeurs de reggae devaient être connotés. Slide, raconte-nous
entre les covers des disques bien évocatrices en spliffs et autres chalices, le tout bien "enfumé" (dans tous les sens du terme !!!) et les photos couv des mag comme rock & folk et best + les reportages genre "reggae et foot" a2, gérard holtz en reporter tout terrain
